Information sur les AVC à l’intention du public


Foire aux questions sur la Stratégie manitobaine de l'AVC

Qu'est-ce qu'un AVC?

Un accident vasculaire cérébral (AVC) est une urgence médicale. Un AVC se produit lorsque l'irrigation sanguine d'une partie du cerveau est interrompue. Cela est généralement dû à un rétrécissement ou une obstruction des vaisseaux sanguins, ce qui réduit la circulation sanguine vers les cellules du cerveau (AVC ischémique), ou à la rupture de vaisseaux sanguins dans le cerveau (AVC hémorragique). Environ 80 p. 100 des AVC sont de nature ischémique. À mesure que nous vieillissons, une plaque cireuse peut s'accumuler à l'intérieur des artères (athérosclérose) et bloquer l'irrigation sanguine du cerveau; il est également possible que des caillots sanguins se forment ailleurs dans le corps et se déplacent jusqu'au cerveau où ils bloquent l'irrigation sanguine. Si l'irrigation sanguine de la partie touchée du cerveau n'est pas rétablie, les cellules nerveuses meurent, ce qui cause un handicap ou le décès de la personne. Les effets d'un AVC varient selon la partie atteinte dans le cerveau et l'ampleur des dommages provoqués. Un AVC peut toucher diverses fonctions, notamment le mouvement, la vision, la mémoire, la parole, le raisonnement, la lecture et l'écriture.

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Qu'est-ce qu'un mini-AVC, également appelé « accident ischémique transitoire » (AIT)?

Un mini-AVC est une interruption temporaire de l'irrigation sanguine du cerveau qui cause des symptômes similaires à ceux d'un AVC, mais qui ne détruit pas les cellules du cerveau et ne cause pas de handicap permanent. Un mini-AVC peut-être un avertissement. Les symptômes apparaissent soudainement et peuvent durer quelques secondes, quelques minutes, voire une heure, et disparaître ensuite complètement. Souvent, les gens n'en tiennent pas compte. Environ une personne sur trois qui a un mini-AVC finira par faire un AVC, dans la moitié des cas dans les douze mois qui suivent le mini-AVC. N'ignorez pas les symptômes même s'ils disparaissent. Parlez-en à quelqu'un et consultez un médecin immédiatement.

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Quels sont les signes avant-coureurs d'un AVC?
  • une faiblesse ou perte des forces soudaine ou un engourdissement du visage, d’un bras ou d’une jambe, même temporaire
  • une difficulté soudaine d’élocution ou de compréhension ou une confusion soudaine, même temporaire
  • des problèmes de vision soudains, même temporaires
  • des maux de tête soudains et violents ou des maux de tête inhabituels
  • une perte d’équilibre soudaine ou un étourdissement soudain, en particulier si la personne présente l’un des signes décrits ci-avant

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Comment reconnaître et traiter un AIT?

Vidéo présentée avec la permission de la Fondation des maladies du cœur et de l'AVC du Canada, et affichée sur YouTube. Cliquez sur l'image pour visionner.

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Quels sont les symptômes d'un AVC hémorragique?

Les symptômes peuvent être l'apparition soudaine de maux de tête violents, souvent décrits comme les pires que la personne ait jamais connus. Aux maux de tête s'ajoutent habituellement des nausées, des vomissements, de la confusion, de la faiblesse, l'affaissement d'une partie du visage, la désorientation et la sensibilité à la lumière. Les personnes qui semblent faire un AVC hémorragique devraient être considérées comme une urgence médicale et être évaluées par un médecin ayant des connaissances spécialisées dans la gestion des AVC. Une hémorragie cérébrale est une urgence dont l'issue peut être fatale et exige une détection et une prise en charge rapides. Une hémorragie cérébrale se produit dans environ 12 à 15 p. 100 des cas de patients hospitalisés pour un AVC au Canada. Les personnes qui survivent à une hémorragie cérébrale ont souvent un handicap de modéré à grave.

Pour en savoir plus, consultez le site Web de la Heart and Stroke Foundation of Canada (en anglais seulement) :

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Quels sont les facteurs de risque de l'AVC?

La plupart des AVC sont évitables. La détermination et la gestion des facteurs de risque peuvent aider à réduire le risque de faire un AVC. Environ 80 p. 100 des AVC sont des AVC ischémiques découlant des effets d’habitudes de vie et de facteurs de risque. Le risque d’AVC peut être réduit en conservant un mode de vie sain et en gérant les facteurs de risque suivants :

  • l’hypertension multiplie par deux le risque d’AVC
  • fumer multiplie par plus de trois le risque d’AVC
  • l’obésité accroît le risque d’AVC de 20 à 30 p. 100
  • le diabète multiplie par trois le risque d’AVC
  • un rythme cardiaque irrégulier contribue à la moitié des AVC causés par des caillots sanguins
  • l’exercice physique pourrait éviter 25 p. 100 des AVC au Canada

Le choix d’un mode de vie sain dépend de nos lieux de résidence et de travail et de nos réseaux de soutien social. L’établissement de circonstances encourageant des choix de modes de vie sains exige de l’éducation et du soutien. Pour en savoir plus sur la maîtrise des facteurs de risque, consultez votre médecin de famille, une infirmière praticienne, une clinique communautaire, un poste de soins infirmiers ou un fournisseur de soins de santé.

Pour en savoir plus, consultez le site Web de la Heart and Stroke Foundation of Canada (en anglais seulement) :

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Existe-t-il des traitements pour l'AVC?

Il existe désormais des traitements permettant de réduire ou d’éliminer les effets d’un AVC. Il est important que vous vous fassiez traiter immédiatement si vous avez les symptômes d’un AVC. Lorsque vous vous rendez au service des urgences en présentant les symptômes d’un AVC, les médecins doivent d’abord établir si votre AVC est causé par un caillot sanguin ou par une hémorragie (un saignement) dans le cerveau. Pour cela, on vous fera passer un tomodensitogramme. Un patient faisant un AVC ischémique pourra se voir administrer un médicament thrombolytique appelé tPA pour dissoudre le caillot. Dans certains cas, si un traitement est administré dans les 4,5 heures suivant l’apparition des symptômes, les personnes victimes d’un AVC pourraient connaître une inversion totale ou partielle des symptômes.

Que le tPA convienne à votre cas ou pas, les 24 à 48 heures qui suivent l’apparition des symptômes d’un AVC constituent un moment critique pour recevoir des soins et un traitement. Vous aurez besoin d’une équipe de professionnels de la santé (médecins, personnel infirmier, diététistes, spécialistes en réadaptation, etc.) pour évaluer les effets de l’AVC et éviter les complications.

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Devrais-je appeler le 911 si je pense avoir les symptômes d'un AVC?

Oui, en appelant le 911, vous aurez accès à un travailleur paramédical des Services médicaux d’urgence (SMU) qui fera une première évaluation ou vous posera des questions sur vos symptômes et déterminera si vous avez besoin d’une ambulance pour être traité à l’hôpital le plus proche ou si vos symptômes justifient votre transfert à un centre spécialisé dans la prise en charge de l’AVC en phase aiguë à Winnipeg (Centre des sciences de la santé ou Hôpital général de Saint-Boniface) ou à Brandon (Brandon General Hospital). Si la décision est de vous envoyer à un tel centre, l’ambulance se rendra à cet endroit plutôt qu’à l’hôpital le plus proche de votre lieu de résidence.

Santé travaille avec les offices régionaux de la santé pour offrir d’ici 2012-2013 des services de prise en charge de l’AVC en phase aiguë dans le nord du Manitoba. Cela supposera de l’éducation et de la formation, du financement et des ressources pour les services de télémédecine et de TéléAVC afin de fournir des soins de l’AVC en phase aiguë conformément aux Recommandations canadiennes pour les pratiques optimales de soins de l’AVC.

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Dans ce cas, le transport en ambulance est-il pris en charge par le régime d’assurance-maladie de Santé Manitoba?

Santé prend en charge le transport en ambulance terrestre entre établissements lorsque cela est nécessaire à des fins médicales et que le patient est transféré d’un établissement de soins de santé désigné à un autre dans le but de subir des tests diagnostiques ou des traitements médicaux, ou d’un établissement offrant un niveau plus spécialisé de soins de santé à un autre plus près de son domicile à des fins de réadaptation ou de récupération.

Les patients transportés en ambulance des régions rurales à des centres de prise en charge de l’AVC en phase aiguë, par exemple à Brandon ou Winnipeg, seront incorporés au programme provincial de transport entre établissements de soins de santé. L’écart des frais de service entre l’hôpital le plus proche (que l’on a contourné) et les centres de soins de l’AVC plus éloignés, à Winnipeg et Brandon, sera à la charge du programme de transport entre établissements, et non du patient. Le patient demeurera responsable du paiement de « l’appel initial ». Nous encourageons les Manitobains à souscrire une assurance pour les services ambulanciers, telle Blue Cross, qui couvrira le coût de l’appel initial.

Voici les critères d’admissibilité à la prise en charge par le programme de transport entre établissements de soins de santé :

  • le patient réside au Manitoba et possède une carte d’immatriculation valide de Santé;
  • un médecin établit que le transport du patient par ambulance est médicalement nécessaire;
  • le patient est transféré d’un établissement de soins de santé désigné à un autre dans le but de subir des tests diagnostiques ou des traitements médicaux, ou d’un établissement offrant un niveau plus spécialisé de soins de santé à un autre plus près de son domicile à des fins de réadaptation ou de récupération.

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Qu'est-ce que le tPA?

Le traitement des AVC bénéficie d'avancées récentes sur le plan médical. Des médicaments comme les thrombolytiques (qui détruisent les caillots) sont désormais disponibles. Le vrai nom du médicament est « tPA » ou activateur tissulaire du plasminogène. Il dissout les caillots sanguins. Pour optimiser son efficacité en cas d'AVC ischémique, le tPA doit être pris dès que possible après l'apparition des symptômes. À partir du début des symptômes, vous n'avez que 4,5 heures pour que l'on puisse vous examiner et vous donner le traitement. Cela signifie que vous avec 3,5 heures à partir de l'apparition des symptômes de l'AVC pour aller dans un hôpital qui peut traiter un AVC avec les thrombolytiques. L'équipe hospitalière de fournisseurs de soins a besoin d'une heure environ pour effectuer un examen complet, effectuer des analyses et un tomodensitogramme, et prendre les décisions concernant votre traitement.

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Qui ne devrait pas prendre de tPA?

Étant donné que le tPA dissout les caillots sanguins, le donner à quelqu'un victime d'une hémorragie cérébrale pourrait entraîner le décès de cette personne. Un tomodensitogramme du cerveau doit être réalisé avant d'administrer le médicament afin de s'assurer de l'absence de toute hémorragie dans le cerveau. Les personnes qui ont déjà eu des problèmes de saignement, une opération récente ou des problèmes de coagulation sanguine ne peuvent pas prendre de tPA.

Une pression artérielle très élevée, un ulcère hémorragique récent et un cancer du cerveau sont d'autres raisons de ne pas utiliser de tPA.

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Qu'est-ce qu'un tomodensitogramme?

Les tomodensitogrammes sont des tests par rayons X produisant des images numériques en coupe transversale du corps. Ces images permettent au radiologue (un médecin spécialisé dans la lecture des images du corps) d'inspecter l'intérieur du corps comme si vous inspectiez l'intérieur d'un pain en le coupant en tranche. On pourrait dire que ces rayons X spéciaux prennent des « photos » de tranches du corps de manière à ce que les médecins puissent examiner les parties qui les intéressent. Un tomodensitogramme de la tête ou du cerveau examine les diverses structures du cerveau afin que l'on puisse rechercher une masse, un accident vasculaire, une aire de saignement ou une anomalie au niveau d'un vaisseau sanguin.

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Qu'est-ce que la Stratégie manitobaine de l'AVC?

Le plan quinquennal de la Stratégie manitobaine de l’AVC s’appuie sur un cadre de piliers du système de santé : soins de santé primaires, innovation dans le système de santé et accès aux soins. La Stratégie vise à améliorer les résultats pour la santé et à soutenir des services de santé appropriés et efficaces pour les AVC par les efforts suivants :

  • sensibiliser davantage le public aux signes avant-coureurs de l’AVC;
  • renforcer la détermination et la gestion des facteurs de risque de l’AVC par l’entremise des médecins de famille et des équipes de soins de santé primaires;
  • mettre en place des systèmes de soins novateurs pour la prestation à distance de services de santé;
  • donner accès à des services spécialisés comme la neurologie et la réadaptation.

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Pourquoi le Manitoba a-t-il besoin d'une stratégie provinciale de l'AVC?

La Stratégie manitobaine de l’AVC établit une feuille de route pour organiser les services existants et futurs de prévention et de soins conformément aux Recommandations canadiennes pour les pratiques optimales de soins de l’AVC.Santé Manitoba a entrepris des efforts de planification et de collaboration avec les offices régionaux de la santé du Manitoba afin d’élaborer des stratégies novatrices de soins de santé à distance comme la TéléAVC, la télémédecine et les services d’ambulance terrestre et aérienne d’urgence en vue d’améliorer l’accès par les patients aux connaissances et soins spécialisés liés à l’AVC.

Actuellement, trois hôpitaux fournissent tous les jours, 24 h sur 24, des soins de l’AVC en phase aiguë à la population manitobaine : le Brandon General Hospital, le Centre des sciences de la santé et l’Hôpital Saint-Boniface à Winnipeg. Le plan quinquennal de la Stratégie consiste à développer les capacités du système de santé de manière à ce que d’ici 2015‑2016, tous les grands hôpitaux manitobains dotés de tomodensitomètres puissent fournir des soins actifs et spécialisés de l’AVC qui soient conformes aux Recommandations canadiennes pour les pratiques optimales de soins de l’AVC.

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Qu'est-ce que la TéléAVC?

La TéléAVC est une application de télémédecine d’urgence accessible tous les jours, 24 h sur 24, qui donne aux médecins urgentistes un accès immédiat à des neurologues spécialisés dans les soins de l’AVC pouvant prendre en charge l’évaluation et le traitement des patients touchés par un AVC en phase aiguë.

Une liaison de télémédecine s’appuyant sur la vidéoconférence et la technologie de partage d’images de tomodensitogrammes permet aux spécialistes des hôpitaux prenant en charge les soins de l’AVC en phase aiguë (à Winnipeg ou Brandon) d’examiner des patients hospitalisés dans des lieux éloignés afin de contribuer au diagnostic de leur état et de recommander un plan de soins. Les hôpitaux peuvent prodiguer des soins de l’AVC en phase aiguë sans que le patient soit transféré pour un examen.

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Que sont les Recommandations canadiennes pour les pratiques optimales de soins de l'AVC?

Les Recommandations canadiennes pour les pratiques optimales de soins de l'AVC présentent des recommandations de haute qualité fondées sur des faits pour les soins de l'AVC. Les recommandations ont été élaborées par une équipe de chercheurs, de spécialistes et de cliniciens afin de soutenir les professionnels de la santé dans tous les champs d'exercice (personnel infirmier, médecins, thérapeutes en réadaptation, etc.). Leur mise en œuvre devrait contribuer à l'amélioration des résultats pour les patients en ce qui concerne le rétablissement global post-AVC.

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Si je suis victime d'un AVC, serai-je hospitalisé dans un hôpital de Winnipeg ou Brandon, ou puis-je aller à un hôpital de ma communauté?

Une fois que vos symptômes de l'AVC se sont stabilisés et que vous avez été examiné par un médecin et une équipe de réadaptation, votre mise en congé sera planifiée en fonction de votre état de santé et des soins et services de réadaptation nécessaires. Vous pourriez être transféré à l'hôpital de votre communauté ou à l'hôpital d'une région plus proche de votre lieu de résidence, ou vous pourriez aller à un centre de réadaptation. Si vous avez fait un AVC d'intensité faible à modérée, la mise en congé peut prévoir une réadaptation externe ou un renvoi vers des services de soins à domicile.

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Aurai-je accès à des services de réadaptation si j'habite dans une région rurale du Manitoba?

Santé et les offices régionaux de la santé collaborent afin d'améliorer les ressources, d'accroître l'accès aux services de réadaptation dans toute la province et d'aider les personnes à suivre le continuum des soins de l'AVC (apparition des symptômes, diagnostic, traitement, récupération). La Province a recruté un coordonnateur régional pour la réadaptation en cas d'AVC. Cette personne travaillera avec les régions pour évaluer et planifier des modèles de réadaptation nouveaux ou innovants et offrira de l'information sur les recommandations pour les pratiques optimales facilitant la réadaptation en cas d'AVC.

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Qu'est-ce que la réintégration dans la communauté?

Les personnes qui ont fait un AVC et leur famille qualifient presque toujours d’étape difficile la transition vers la communauté à la mise en congé de l’hôpital. Une personne vivant avec les séquelles d’un AVC souffre souvent d’anxiété et de dépression, et la famille connaît elle aussi du stress, de l’épuisement physique et de la dépression, ce qui influe sur la qualité des relations et sur l’adaptation post-AVC. Les patients et leur famille ont besoin de soutien social, de motivation et d’espoir afin d’éviter l’épuisement, la dépression et une dégradation de l’état de santé.

Souvent, une équipe de fournisseurs de soins de santé et de soutien communautaire est nécessaire pour renforcer la récupération. Afin de faciliter la transition et la réintégration de la personne victime d’un AVC dans le monde du travail et la communauté, les moyens suivants peuvent être utiles : thérapie continue en réadaptation, orientation professionnelle et soutiens à la reprise du travail, modification du milieu de travail, aides à la mobilité et à la communication, services de transport et d’évaluation à la conduite et services de soutien à domicile. L’objectif de la réintégration dans la communauté est de favoriser la sécurité, l’autonomie et des activités quotidiennes intéressantes.

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Comment la Stratégie manitobaine de l'AVC favorise-t-elle la réintégration dans la communauté des personnes victimes d'un AVC?

Santé et les offices régionaux de la santé du Manitoba planifient l’obtention de ressources et d’un financement accrus pour la thérapie de réadaptation communautaire et externe et pour l’établissement de stratégies communautaires visant à aider les personnes vivant avec les séquelles d’un AVC à maintenir, renforcer et développer un soutien social approprié et à faire en sorte que ces personnes reprennent des activités professionnelles, sociales et récréatives.

La Stratégie manitobaine de l’AVC prévoit également que le coordonnateur régional des services de réadaptation en cas d’AVC recherche et élabore de nouveaux modèles de réadaptation pour la province ainsi que des services de formation et d’éducation sur la réadaptation en cas d’AVC et des protocoles pour les soins transitoires des hôpitaux aux soins communautaires et de longue durée.

La Heart and Stroke Foundation of Manitoba (HSFM) prévoit également d’élargir Living with Stroke, un groupe d’apprentissage doté d’un animateur à l’intention des personnes vivant avec les séquelles d’un AVC et de leur famille. Pour en savoir plus, veuillez appeler la fondation au 204-949-2000 ou, sans frais, au 1 888 473-4636.

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Information sur l'AVC de la Heart and Stroke Foundation of Canada :